Réponse à des mensonges de l’ONG « Reporters sans frontières » vis-à-vis de ma personne

25 mai 2025

Les diffamations, les mensonges et les perversions de la réalité que sont les éléments constitutifs de l’activité de très nombreuses entités de propagande agressive payées par Usaid, fondation de Georges Soros et tant d’autres sources de financements malsains de la lutte contre le monde non occidental, de l’ingérence dans les affaires des pays souverains et de la propagation de l’entropie dans des zones géographiques non soumises à la volonté et au contrôle du maitre Occidental, dont le groupement d’activistes sous le statut de prétendus journalistes couverts par une belle étiquette de « Reporters sans frontières », ne mérite pas la moindre attention de la part de personnes sérieuses non dépourvues de capacités analytiques.

Rien de plus banal dans les organes de désinformation, tels que l’ONG « Reporters sans frontières » : tous ceux qui s’expriment en faveur de la Fédération de Russie et dénoncent les crimes du camp atlantico-européiste otanien commis de par le monde sont, bien évidemment et automatiquement classés en tant que les méchants « agents du Kremlin ! ».

Sur le chemin de l’abrutissement des masses, RSF et tant d’autres structures de même niveau moral déplorable, ont épousé la doctrine qui est celle préférée de Joseph Goebbels, ministre de la propagande du IIIème Reich : « Plus le mensonge est gros – mieux il passe ! ».

Cela étant, même si je n’ai guère ni l’habitude, ni l’envie de parler de moi, vu la grossièreté tout à fait étonnante de la diffamation mensongère et de la désinformation propagée vis-à-vis de ma personne par l’association de pseudo-journalistes que sont les « Reporters sans frontière » qui ont manqué une belle occasion de s’approprier le dénominatif plus parlant pour leur véritable contenu « Reporters sans honneur », pour une fois je ferai une exception à la règle et prendrai quelques heures de mon temps pour faire des commentaires bien détaillés et documentés de la mise en pièce, point par point, des mensonges et élucubrations propagés par cette ONG.

Avant cela et malgré tout, je dois les remercier.

Si un organe de propagande et de la désinformation, tel que RSF, implanté au niveau international, a pris la décision d’essayer de salir ma réputation, cela ne signifie qu’une seule chose : mon action de lutte contre les mensonges et la désinformation propagés par des « porte-paroles » du camp atlantiste européiste néo-libéral qui a pour objectif la domination de la planète via l’instauration du chaos et du désastre socio-économique en dehors du monde Occidental, afin de continuer à se remplir les poches sur les ruines et les malheurs des sociétés visées – cette action personnelle n’est donc pas réalisée en vain et commence déjà à porter ses fruits.

L’attaque de cette association de pseudo défenseurs des intérêts des journalistes de par le monde ne peut être considérée autrement qu’un aveu flagrant de la qualité et de l’efficacité de ma modeste action de lutte contre la lobotomisation des masses par des agents de propagande et de désinformation, dont RSF est un échantillon parfaitement représentatif, et ne peut être perçue autrement que par l’attribution à ma personne d’un ordre du Mérite pour l’action accomplie.

Je devrais m’arrêter là. Mais, pour les remercier de m’avoir fait une promotion supplémentaire laquelle n’aura d’autre effet que l’augmentation de consultation de mes publications, dont la grande analyse qui paraîtra prochainement « ONG « Les Reporters Sans Frontières » : qui sont-ils réellement ? Le dossier », en laissant sans la moindre attention le banal délire conspirationniste du niveau des caniveaux de RSF sur mes « techniques de communication poutiniennes » – je prends bien mon temps pour l’exercice amusant de commenter les autres élucubrations au sujet de ma personne de la part des prétendus journalistes qui composent cette entité.

🔴 RSF sur mon accession au poste de président du CCIE1

« En 2002, il prend la tête du Centre de commerce et d’industrie européen, une association qui affichait être directement soutenue par la Chambre de commerce et d’industrie de Russie. Installée en France, elle est censée développer les relations d’affaires entre les deux pays. Oleg Nesterenko parle couramment français, mais sa présence à la tête de cette structure à l’âge de 23 ans, sans diplôme connu et avec pour seule expérience quelques projets dans le domaine de l’anthropologie, interpelle » – RSF.

Si les effectifs salariés des prétendus « reporters » sans frontières avaient été composés de véritables journalistes et non pas de vulgaires activistes, dont la spécialisation est la diffamation et la propagation des mensonges et de la désinformation sur tous ceux qui représentent le camp opposé à celui qui les finance – au lieu de mentir d’une manière pathologique et tout à fait grossière, ils auraient facilement pu apprendre que la personne dont ils parlent est diplômée du Titre d’Etudes Supérieures certifié au niveau I de l’Ecole Supérieure de Gestion et Commerce Internationale2 de la ville de Paris.

Et si quelque chose les « interpelle » là-dessus, c’est pour des raisons très simples : 

d’une part, RSF n’a pas la moindre connaissance du monde réel du travail, car ils existent non pas grâce aux fruits de leur travail, mais que grâce à de très importantes perfusions financières artificielles de leurs commanditaires et donateurs en ignorant le concept-même d’un véritable travail, du gagne-pain qui est autre que celui procuré par la manne miraculeuse venue principalement des poches des contribuables, sans demander leur avis ;

d’autre part, les profanes qui composent RSF n’ont vraisemblablement, aucune idée que dans le monde des affaires les fonctions de responsabilité sont dues non pas à des diplômes – même si vous en avez un grand nombre – mais à des aptitudes, qualités et connaissances personnelles. En ce qui me concerne, mon QI de 154, entre autres, me permet aisément de m’occuper non seulement de la gestion du CCIE, mais également de plusieurs autres affaires et projets complémentaires.

🔴 Les mensonges de RSF concernant mon activité du passé dans le cadre des recherches scientifiques3

« …Sans formation académique connue, il travaille comme traducteur dans le cadre d’un projet d’anthropologie. Il parvient à s’y faire une place aux côtés de Sergueï Gorbenko, un chirurgien ukrainien spécialiste de la reconstruction faciale. » – RSF.

Une fois de plus, le récit de RSF est aussi coupé de la réalité que mensonger. Le niveau de grossièreté du mensonge est tout à fait étonnant, car, une fois de plus et comme pour tout le reste, il m’est trop facile d’apporter les preuves matérielles du contraire.

Je n’ai jamais été un traducteur de quoi et de qui que cela soit dans le cadre d’aucun projet. Et même si la proposition de l’enseignement de la langue russe au sein d’un Master d’une école de commerce de Paris m’a été faite un jour – je l’ai refusée, car cette activité ne m’a jamais intéressé. Enfin, à l’âge de 19 ans il m’est arrivé de traduire du russe en français un manuel de physique appliquée sur une invention scientifique électromécanique, mais cela n’a guère été classé en tant que travail. Et en parlant du « cadre d’un projet d’anthropologie », il s’agit non pas d’un travail de traducteur, mais de celui de Directeur exécutif/Directeur commercial.

Sans entrer dans les détails, mon travail personnel a consisté dans l’organisation de projets de recherche scientifique avec la formule « de A à Z » : la recherche de projets à réaliser et l’analyse de la faisabilité, l’obtention des autorisations4 pour la réalisation (de l’état, des municipalités et du pouvoir ecclésiastique tant au niveau local que régional), l’obtention des financements publics et privés de réalisation, la promotion et la communication, l’organisation de la logistique et de la mise en place de l’ensemble des éléments du projet avant le lancement.

Cela étant, vu la haute confidentialité avant la fin des travaux des éléments travaillés dans le cadre de la plupart de nos projets de recherche et du comité très restreint des personnes qui ont eu accès à des données de recherche (plusieurs de nos travaux de recherche sur les restes des grands personnages de l’histoire n’ont jamais été et ne seront jamais connus du grand public, car la divulgation des résultats ne serait pas bénéfique pour les commanditaires des études, voir pour la sauvegarde de mémoire des personnages), j’ai dû également directement assister à l’ensemble de processus de recherche.

Les grandes lumières de l’investigation de RSF peuvent consulter ce petit résumé5 des retombées médiatiques en France concernant ladite activité.

Et si ces fleurons du journalisme international trouvent qu’il ne me serait pas de refus de présenter un document de plus concernant mon statut officiel dans le cadre de l’activité en question qu’ils nomment « traducteur » – voici le document/certificat du Ministère de la Culture de l’Ukraine, qui m’a été délivré en 1999 par le directeur du Musée de l’Histoire de Religion de Lviv, dont l’Institut et Musée de la Reconstruction Anthropologique6 que je représentais en France faisait partie, et qui indique ma fonction précise au sein cette structure, visé par le tampon de la Direction Culturelle de l’Administration d’Etat de la région de Lviv : « Комерційний директор – Directeur commercial ».

🔴 Les mensonges de RSF concernant les raisons de mon départ de Russie

« Simple patriote zélé ? Agent d’influence ? RSF a enquêté sur le parcours aussi énigmatique et fragmenté d’Oleg Nesterenko. Arrivé en France à la fin des années 1990, il se présentait alors, selon un de ses amis de l’époque, comme un “déserteur” ayant fui la mobilisation pour la guerre en Tchétchénie. Lui dément catégoriquement, affirmant être parti “par envie de voyager” après la fermeture de l’école militaire des forces de missiles stratégiques où il étudiait en Russie. Sans formation académique connue, il travaille comme traducteur dans le cadre d’un projet d’anthropologie. Il parvient à s’y faire une place aux côtés de Sergueï Gorbenko, un chirurgien ukrainien spécialiste de la reconstruction faciale. Leur collaboration s’interrompt brutalement au début des années 2000. » – RSF.

Le seul et unique « ami de l’époque » qui dispose des moindres connaissances concernant mon « arrivée en France à la fin des années 1990 » et concernant les raisons de ce dernier n’est personne d’autre que le Dr Sergueï Gorbenko (et qui est non pas un « chirurgien spécialiste de la reconstruction faciale », mais un docteur en médecine et docteur en histoire, spécialiste de la reconstruction anthropologique faciale). Une personne pour qui j’éprouve toujours de la sympathie, malgré notre séparation professionnelle, nos grands différents idéologiques et certaines dérives de sa part dans le cadre de l’activité professionnelle, dont j’ai assez d’honneur pour ne pas les étaler dans l’espace public, qui m’ont poussé à cesser notre collaboration (suite à quoi le scientifique en question n’a plus jamais retravaillé sur aucun projet en France). 

Cela étant, il est tout à fait exclu que ce dernier ait pu communiquer à RSF que j’ai été « un “déserteur” ayant fui la mobilisation pour la guerre en Tchétchénie », car il connait parfaitement la réalité me concernant. La réalité qui n’a rien à avoir, ni de près, ni de loin, avec les mensonges inventés par cette ONG de propagande.

Avec les meilleures volontés du monde, la prétendue fuite de « mobilisation pour la guerre en Tchétchénie » est, tout simplement, impossible.

Pourquoi ?

C’est très simple : mon départ de Russie date de 8h00 du matin du 4 octobre 19977 et il a eu lieu à l’âge de 18 ans et 29 jours très exactement.

Etant donné que la 1ère guerre de Tchétchénie s’est déroulée entre le 11 décembre 1994 et le 31 août 1996, il m’aurait été tout à fait difficile de fuir la mobilisation pour une guerre terminée depuis plus de 13 mois avant mon départ. Sans parler du fait fort gênant que le jour non pas du début, mais de la fin de la guerre en question, j’étais âgé de 16 ans (!) et je n’avais donc aucune chance d’être mobilisé, même en suppliant l’armée à genoux.

La seconde guerre de Tchétchénie a eu lieu entre le 7 août 1999 et le 16 avril 2009. C’est-à-dire que mon départ date de plus de 22 mois avant le début de la seconde guerre de Tchétchénie. Une fois de plus, il m’aurait été tout à fait difficile de fuir une guerre qui n’a commencé que pratiquement 2 ans après mon départ du pays. Sauf si les génies de l’analyse de RSF veulent me flatter en prétendant que je dispose des capacités de Nostradamus, soit de la vision de l’avenir.   

Je suppose que nul besoin d’exposer davantage la stupidité abyssale – difficile de qualifier autrement – des grands exploits « d’investigation » réalisés sur ce point par des « reporters » qui ne connaissent pas les frontières dans leur envie pathologique de mentir, de déformer la réalité et de propager leurs narratifs sans la moindre vérification de la véracité des éléments qui les composent.

Cela dit, pour comprendre mes rapports à l’armée, vu que ce thème est soulevé, je veux bien en rajouter quelques lignes me concernant.

Depuis mon enfance j’étais tiraillé entre l’envie de voyager autour du monde et de devenir militaire, officier de carrière. Durant la première guerre de Tchétchénie, étant âgé de 14-16 ans, j’ai vu au quotidien des centaines d’hélicoptères de combat et de transport qui passaient au-dessus de ma tête. Cela m’a fait grandement hésiter au niveau du choix de mes futures études : entre une école de pilote d’hélicoptères de combat et celle qui était dans mes plans depuis un moment : l’école de commandement des régiments de missiles nucléaires.

La seconde a pris le dessus dans mes intentions d’études. En 1997, après une année « préparatoire » dans les murs de l’établissement, à l’âge de 17 ans j’ai passé avec succès les examens d’entrée dans l’Ecole Supérieure de Commandement et d’Ingénierie des Forces des Missiles Stratégiques de la Fédération de Russie (K.V.V.K.I.U.R.V.S.N.R.F.).

Néanmoins, pratiquement au moment du début des études, il a été annoncé par le commandement de l’établissement à tous les admis que l’Ecole sera dissoute (les temps étaient durs en Russie dans les années ’90 et l’armée a beaucoup souffert du manque de financement). Pour ma part, j’ai pris l’évènement pour un signe et j’ai décidé de changer radicalement de cap en réalisant mes rêves d’enfance : voyager.

Cela étant, si j’étais resté en Russie, le certificat des examens d’entrée réussis (toujours en ma possession), dont le concours d’entrée était de 10 candidats pour 1 place disponible et avec mes notes des matières examinées (mathématiques, physique, …) en majorité 20/20 (5/5) et la plus basse de 16/20 (4/5) – cela me donnait le droit d’être directement et immédiatement admis dans le plupart des établissements de l’enseignement supérieur du pays, tant militaire que civil (hormis quelques-uns très particuliers, tels que l’école militaire supérieure de cryptologie ou bien celles de l’armée de l’air, qui demandaient des épreuves physiques et médicales supplémentaires).

Il est à savoir qu’à l’époque, en Russie, les étudiants même des établissements de l’enseignement supérieur civil n’ont jamais été mobilisables pour le service militaire et recevaient à la fin du cursus universitaire le rang d’officier lieutenant de réserve. Soit, dans tous les cas de figure, le scénario tiré du nez sur ma « fuite de la mobilisation militaire » apparu dans l’imagination corrompu des « journalistes » de RSF est aussi absurde que totalement coupé de la moindre réalité.

Vu la grossièreté de la diffamation mensongère proliférée par RSF que je viens de démontrer, on devrait s’arrêter là.

Mais, continuons !

🔴 Les mensonges de RSF concernant mes publications sur les réseaux sociaux

« Contacté par RSF, Oleg Nesterenko affirme s’être lancé seul, sans être rémunéré par aucun commanditaire, estimant avoir dû “sortir de sa réserve pour apporter la connaissance de la réalité face à la perversion et à la désinformation qui flambe de manière exponentielle sur le territoire de l’Occident” » – aussi étonnant que cela puisse paraitre, ce sont de très rares lignes de la prétendue « investigation » de RSF qui n’ont pas été perverties par ces derniers et qui correspondent tout à fait à la réalité.

« Selon notre décompte, rien qu’en mars 2025, il a publié au moins 700 contenus sur ses principaux canaux de diffusion : LinkedIn, une chaîne Telegram baptisée “Informations alternatives” et un groupe Facebook du même nom traitant de la guerre en Ukraine, suivi par plus de 145 000 membres, son audience la plus importante à ce jour » – RSF.

Faux.

Premièrement, « son audience la plus importante à ce jour » n’est guère sur les réseaux sociaux, mais dans les médias, dont certaines publications8 ont plusieurs millions de lecteurs uniques dans le monde entier. Deuxièmement, en ce qui concerne les « 700 contenus », pour commencer, il faut diviser ce chiffre par 3, vu que ce sont des couper/coller du même contenu postés simultanément sur les 3 supports mentionnés.

De plus, d’une manière tout à fait normale, la majorité du contenu posté par mes soins sur les réseaux sociaux n’est guère des productions personnelles, mais des informations que je consulte au quotidien dans les médias internationaux et je partage celles que j’estime les plus intéressantes. Et je peux rassurer le « journaliste » auteur de ce « scoop » sur le nombre de mes publications : l’ensemble de mon temps consacré au quotidien aux réseaux sociaux est bien inférieur à celui qu’il passe chaque jour devant son feuilleton du soir à la télé.

« Au cours de l’entretien il va nous sortir cette phrase qui illustre bien les contradictions du personnage : « je partage des choses que je trouve intéressantes, mais je n’ai pas le temps de les vérifier » – me cite Arnaud Froger. Un mensonge. Cette phrase n’a jamais eu lieu durant notre entretien. Comme c’est la règle indéniable et inébranlable chez RSF, dont monsieur Froger est un échantillon représentatif, une fois de plus, ce ne sont que des perversions et des déformations de mes propos, afin de leur procurer l’aspect souhaité pour pourvoir les inclure dans le narratif à propager. Lors de l’entretien que j’ai accordé à cet « investigateur », en parlant des informations non vérifiées par mes soins, j’évoquais uniquement une partie de mes post sur Facebook qui contiennent des informations celles d’autres médias – et nullement de l’ensemble de mes post publiés, encore moins de mes articles et analyses dans la presse. Et si l’envie insurmontable de mentir sur ce point saisit monsieur Arnaud F. une fois de plus – malheureusement pour ce dernier je dispose de l’ensemble de l’enregistrement vocal de notre conversation.

En ce qui concerne la tentative de ce pseudo-journaliste de présenter mes analyses en tant que superficielles, je ne peux que lui conseiller de se pencher ne serait-ce que sur 3 -1-10 -2-11 -3-12 des mes 30 dernières publications dans la presse et d’y retrouver le niveau inatteignable par aucun des vulgaires cracheurs de salive qui composent son organisation.

🔴 L’opinion lumineuse d’un chercheur d’une école militaire

« Pour Maxime Audinet, chercheur à l’Institut de recherche stratégique de l’École militaire (IRSEM) et spécialiste de l’influence russe, l’homme présente “les traits du micro-entrepreneur d’influence et de désinformation” qui espère “tirer des dividendes matériels ou symboliques de sa production de très nombreux contenus reprenant les éléments de langues et récits officiels russes” » – RSF.

J’ignore totalement qui est cet individu. Cela étant, vu les balivernes qu’il se permet de produire à mon sujet en se basant uniquement sur les grossiers mensonges de la prétendue « investigation » d’une association de pseudo-journalistes et qui se résume à « « j’ai vu quelques chose quelque part et quelqu’un m’a dit quelque chose quelque part » – j’éprouve une grande et sincère pitié pour ce petit bonhomme, vu qu’il a l’habitude, à l’instar de son interviewer, de produire des missives « lumineuses » sans prendre la moindre peine de les passer par le cerveau avant d’ouvrir sa bouche. Si c’est cela le niveau de « chercheurs » de l’Ecole militaire IRSEM – pauvre, pauvre école…

🔴 L’opinion des médias africains

RSF n’oublie pas de mentionner « En mars 2023, après l’émission d’un mandat d’arrêt international contre Vladimir Poutine, il démarche par exemple une rédaction et écrit vouloir informer les lecteurs13 “pour qu’ils ne soient pas victimes de la manipulation médiatique atlantiste”. “Quand je lis, c’est de l’influence, il faut faire attention”, concède Judicaël Zohoun, directeur du site d’information 24h au Bénin, qui a tout de même publié deux de ses articles. »

D’une part, monsieur Arnaud Froger, le grand responsable des « investigations », le « reporter » sans frontières et, surtout, sans les compétences professionnelles nécessaires pour la pratique du métier sous couverture de « journaliste » qu’il s’est choisi, s’embourbe toujours dans la médiocrité des approximations : « 24h au Bénin » a publié non pas « deux de ses articles », mais cinq (5) de « ses articles ».

D’autre part, cela va de soi que monsieur Froger omet de présenter quelques autres réactions quelque peu différentes de ses interlocuteurs sur le continent africain, dont plus de 20 rédacteurs en chef et journalistes m’ont averti que RSF pollue leurs boites de messagerie avec de nombreux courriels diffamatoires à mon sujet.

Un petit extrait des messages reçus14 de la part de mes interlocuteurs :

«Selon lui, qu’une “mise en scène criminelle constituée par le régime de Kiev, très certainement à la demande de leur curateur outre-Atlantique” […]L’inversion accusatoire : une technique classique de manipulation de l’opinion dont il fait un usage régulier, […]“seule la Fédération de Russie peut réellement garantir la paix sur le territoire de l’Ukraine”, posant l’État agresseur en arbitre, voire en pacificateur. » – RSF.

En ce qui concerne les événements de Boutcha – et pas seulement – c’est déjà en septembre 2022 que je les ai commentés très en détail et en présentant des éléments matériels vérifiables dans la seconde partie15 de mon interview à l’édition « Contre-Pouvoir16».

Et à propos de « manipulation de l’opinion »… – monsieur Froger a dû se regarder dans le miroir en prononçant cette phrase qui est l’élément constitutif, le sens-même de l’existence de RSF et le synonyme de son dénominatif.

🔴 Les mensonges de RSF concernant mon hobby

Voyons un autre point soulevé dans les diffamations de RSF, vu que les « journalistes » de l’organisation en question ont naïvement imaginé, faute de connaissance et de compétence, avoir trouvé un « argument qui tue ».

« Sa passion pour les reliques du Troisième Reich également. Celui qui justifie l’invasion d’un pays qu’il qualifie volontiers d’“ukronazi” est aussi collectionneur et revendeur d’artefacts militaires, principalement de la seconde guerre mondiale, et surtout allemands, comme l’a découvert RSF. »

Quelle grande découverte que celle de RSF ! Ils ont certainement dû durement travailler pour réaliser la grande découverte de mon hobby qui est, pourtant, parfaitement connu et affiché depuis 30 ans. Cela étant, la déformation et la perversion des informations trouvées devaient être un travail plus facile pour ces derniers, vu qu’il s’agit de leur activité de tous les jours depuis 1985.

Il s’agit, tout simplement, de ma très grande collection personnelle d’objets historiques. Cette « activité » est, bien évidemment, parfaitement assumée, connue et nullement dissimulée pour une raison très simple : elle est 100% légale et parfaitement saine.

Sauf si on déforme les informations d’une manière malsaine et perverse, afin de leur procurer des aspects qu’on désire – le modus operandi classique dans l’ensemble des activités de RSF.

D’une part, en ayant une importante collection personnelle dans le domaine de l’histoire, accumulée depuis trois décennies et constituée d’objets allant de l’époque romaine aux années 70 du siècle passé, dont la majeure partie concerne les deux derniers conflits mondiaux (que j’étudie depuis des décennies d’une manière constante, de même que l’époque médiévale) et dont plusieurs centaines d’objets n’ont aucun rapport avec ;

D’autre part, travaillant depuis un moment sur la création d’un grand catalogue de référence réunissant les effets militaires, insignes et décorations de la période 1914-1945 (avec le développement du sujet sur l’importance fondamentale des symboles dans la formation et maintien des régimes extrémistes par le monde),

une partie du temps libre dédié à mon hobby, passe, bien évidemment, par une quantité relativement importante d’achats et de reventes qui suivent le processus de photographie et de classification des articles acquis par le monde. Si l’objet trouvé sort du domaine de ma collection personnelle ou si je dispose déjà un similaire (souvent, les mêmes à la première vue objets sont rachetés, afin de répertorier les divers marquages des fabricants et les particularités de confection), il est remis, tout simplement, en circulation sur le marché des antiquités. C’est aussi simple que cela.

Parmi les heureux bénéficiaires réguliers et de longue date de mes reventes figurent plusieurs musées, un nombre important de grands collectionneurs et une quantité non négligeable de collectionneurs qui pratiquent le métier de militaire et de policier, actif et à la retraite, dont des officiers supérieurs et plusieurs officiers généraux de l’armée française, anciens officiers des services des renseignements internes et externes français, grands universitaires et des personnalités du monde de la culture. 

Non seulement c’est une « activité » qui est parfaitement connue et saine, elle est également déclarée d’une manière légale. Selon la législation française en vigueur, dès le moment que vous vous séparez de quelques biens que cela soit, vous devez payer les impôts appropriés dès que cela dépasse un seuil (qui est très réduit). De ce fait, les obligations fiscales sont également acquittées (contrairement à la majorité écrasante des revendeurs privés qui ne déclarent jamais leurs ventes).

Concernant les bénéfices financiers nets dans ce domaine, après le règlement d’impôts et taxes ils sont tout à fait négligeables, cela étant, mes aptitudes et connaissances dans le domaine permettent de garder cette activité dans le cadre de l’autofinancement.

L’intégralité des éléments exposés est officielle, légale, jamais dissimulée de personne et parfaitement assumée.

Pas de chance, donc, pour les « grands investigateurs journalistiques », ayant essayé de me faire passer pour un je ne sais quel néonazi anonyme. Moi, le petit-fils de soldats de l’Armée rouge, morts au combat contre le nazisme ; la personne qui condamne et combat ouvertement au quotidien la peste du néonazisme17 proliféré18 en Ukraine19 avec le soutien silencieux des pouvoirs occidentaux – et ceci malgré les menaces de mort que je reçois de la part de ces derniers avec une régularité tout à fait remarquable (plusieurs plaintes judiciaires sont déposées20 auprès des tribunaux) ; le donateur régulier auprès des organismes caritatifs21 (Action contre la faim, UNICEF, …) et auprès du Centre Israélien de Soutien aux Enfants Atteints de Cancer22; le membre du registre international de donneurs volontaires de la moelle osseuse23 (dps 11/18) et le membre du registre français des donneurs volontaires d’organes24 (dps 06/18). 

Et sur les 3 sites de ma présence, ce ne sont pas « plusieurs collectionneurs » fantaisistes de la prétendue « investigation » de RSF, mais plus de 1500 collectionneurs (1654 à ce jour, pour être précis) qui ont laissé leurs évaluations indépendantes par écrit au sujet des biens, dont je me suis séparé et qu’ils ont repris. Pour l’ensemble des 3 sites, le taux d’avis positifs est supérieur à 99% (contre 0,48% d’avis négatifs) sur l’un ; 4,9/5 et 5/5 sur les autres25– un score enviable et inatteignable par la majorité écrasante des vendeurs professionnels, tout domaine confondu. Tout journaliste sérieux peut me solliciter et recevra les preuves matérielles détaillées/liens des chiffres annoncés.

On peut toujours trouver les 5-10 individus qui ont une conviction absolue que les 500-1500 de leurs semblables ne sont que, contrairement à eux, de sobres idiots qui ne comprennent rien en rien. Mais, pour les chercher, les trouver et les présenter en tant qu’un échantillon représentatif de l’ensemble du segment-cible, il faut bien être une médiocre entité spécialisée dans la déformation des informations de type RSF. Pour notre part, évitons ce type d’exploits.  

Les « grands investigateurs » de RSF devraient travailler un peu plus leurs prétendues « sources » pour avoir l’air un peu plus crédible et un peu moins ridicule.

En ce qui concerne la tentative de RSF de sous-entendre que je « vis » grâce à de modestes reventes d’antiquités dans le cadre ci-dessus mentionné – elle frôle, tout simplement, un grave manque de simple intelligence. Le grand « responsable du service des investigation » chez RSF, Arnaud Froger (récemment jugé dans une autre affaire de diffamation, mais a eu la chance d’échapper à la condamnation26) qui a mené la campagne de diffamation contre moi en collaboration avec Lesia Dubenko, une « journaliste » politique du régime ukrainien27 (ce qui veut déjà tout dire) – pourrait quand même apprendre sans grande difficulté qu’en dehors même des fruits de mon activité professionnelle qui n’a rien à voir, ni de près, ni de loin, avec mon hobby, je suis également propriétaire non pas depuis hier, mais depuis plus de dix ans, d’un nombre de biens immobiliers à Paris/IDF (et ce n’est guère juste 1-2 appartements) qui rapportent des dizaines de milliers d’euros rien qu’en revenus fonciers. Des revenus parfaitement connus et déclarés auprès du Trésor Public français.

🔴 Les mensonges de RSF sur mes activités d’enseignant

Ayant certainement aperçu sur mes comptes des réseaux sociaux l’indication « Enseignant aux Masters du 09/2008 au 07/202228», les « investigateurs » de RSF ont manifestement eu l’idée d’inventer, de même que pour tout le reste me concernant, une histoire diffamatoire sur comment l’école de commerce INSEEC 29 m’a fait virer en 2022 en tant que « mauvais professeur » :

« Sur les bancs de l’INSEEC, une école de commerce parisienne où il a enseigné de 2008 à 2022, l’homme n’a pas non plus laissé un souvenir impérissable. Contactée, l’école affirme qu’il n’a plus de cours depuis 2022, en raison de “problèmes de comportement” et sur fond de “propagande pro-russe permanente” » – RSF.

Il y a juste des « petits » problèmes que les falsificateurs calamiteux de ladite association de pseudo journalistes n’ont pas réussi à apprendre : je n’ai jamais été licencié par qui que cela soit. Auprès de ce groupe d’enseignement supérieur, j’ai toujours mon CDI (et non pas un statut d’un simple intervenant/prestataire externe), lequel n’a jamais été remis en cause à aucun moment par qui que cela soit ; je reçois chaque mois, bien évidemment, mes fiches de paie30; je détiens ma mutuelle santé obligatoire de l’enseignant payée par l’établissement et je reçois toujours les primes de la fin de l’année.

Mon indication sur les réseaux sociaux « au 07/2022 » n’a guère signifié mon départ dudit établissement, mais l’arrêt de mon cours « Négociation B to B ». L’arrêt du cours qui n’a strictement rien à avoir avec les mensonges propagés par RSF.

En 2022, le groupe INSEEC a connu une grande restructuration qui a suivi le rachat du groupe et c’est dans le cadre de l’harmonisation des cours (chaque pôle de l’établissement en France a commencé à enseigner que des matières identiques, ce qui n’était pas le cas auparavant) qu’un grand NB de matières a été supprimé/modifié. J’ai été présent à la réunion générale des enseignants des Masters INSEEC/Paris au moment de l’annonce de la nouvelle.

En ce qui me concerne, avec la suppression de la matière « Négociation BtoB », en 06/2022 une nouvelle matière à enseigner – « La Géopolitique et Relations Internationales » – m’a été proposée immédiatement et d’une manière officielle31.

Et vu que je n’ai pas accepté l’enseignement de cette matière, pour des raisons qui me regardent, c’est cette date que j’ai indiquée sur les réseaux sociaux en tant que la fin effective de mes cours. Cela étant, officiellement et juridiquement je fais toujours partie du corps enseignant32 et à tout moment je peux réclamer la reprise de mes cours. La chose que RSF n’a pas pu savoir, d’où leurs élucubrations sur le sujet.

Par ailleurs, en constatant les mensonges propagés par RSF concernant mon activité d’enseignant au sein de l’INSEEC, j’ai contacté – cela va de soi – la direction de l’établissement et leur ai posé des questions à ce sujet. Aucune confirmation d’une prétendue interview accordée à RSF ou de la moindre communication d’informations à mon sujet à ces derniers n’a eu lieu. Alors, la question reste ouverte sur les propos tenus par cette association qui prétend avoir « contacté » l’établissement et sur ce que « l’école » leur a « affirmé ».

« Il n’hésitant pas à évoquer des pratiques controversées, comme “l’achat de mails en masse”, rapporte un étudiant. » – Arnaud Froger/RSF.

Un mensonge tout à fait grossier de plus. Non seulement je n’ai jamais pu parler de cela durant mon cours de « Négociation BtoB », même en théorie, car cela se situe exactement à l’opposé de tout ce que j’ai enseigné à mes élèves – sans parler du fait qu’au niveau sérieux cette pratique ne concerne que BtoC et non pas BtoB – mais en plus, même si nous parlons du BtoC qui ne me concerne nullement, je ne pourrai rien évoquer hormis les faits que, d’une part, c’est une pratique qui est obsolète et dont la plupart de sa production va directement dans les spams des cibles, d’autre part, qu’en BtoB elle ne peut jamais procurer aucun autre effet que celui de nuire gravement à la réputation de ses auteurs et n’est donc jamais utilisé par aucune entreprise sérieuse. J’émets donc beaucoup de réserves sur l’existence-même d’une telle « source » ailleurs que dans l’imagination de monsieur Froger et si, néanmoins, elle existe : à vérifier la note qu’elle a reçue à la sortie de mon cours : entre 1 et 5/20 ou un peu plus ? Je comprends que les « lumières » de RSF n’ont strictement aucune connaissance, même vague, du sujet des négociations – la grossièreté de leurs élucubrations sur le sujet n’est donc guère étonnante.

Dans le même cadre de la lumineuse « investigation » sur mes activités de professeur, RSF a également essayé de faire passer le message mensonger, sous attendant que mes cours sont de mauvaise qualité, tournés vers « la propagande pro-russe » et au contenu très controversé, en citant « un étudiant ». Non seulement les propos exposés par RSF sont faux et les éléments décrits n’ont jamais eu lieu durant mes cours, mais, pour en avoir « le cœur net », j’ai également contacté mes anciens élèves via le réseau Linkedin en leur apprenant que je ne donne plus le cours de « Négociation BtoB » au sein de l’INSEEC et en demandant leur avis objectif, non embelli, sur le cours en question. J’ai immédiatement reçu non pas l’avis de « un étudiant », mais de plus de 50 (!) de mes anciens élèves, dont l’ensemble des retours est plus que positif33, bien que, selon ma connaissance, j’ai toujours été le professeur des Masters de l’établissement le plus sévère et intransigeant au niveau des notations de mes étudiants (pour une raison simple: quand j’enseigne – c’est pour former de véritables professionnels disposant de véritables aptitudes et connaissances – et certainement pas pour faire plaisir ou plaire à qui que cela soit, tant dans la salle du cours que dans l’administration de l’établissement).

Que RSF n’ait trouvé aucune information sur mon enseignement auprès des Masters de plusieurs autres grandes Ecoles de Commerce de Paris n’est guère étonnant : dès le moment que cette information ne figure pas sur mes comptes des réseaux sociaux, leurs capacités de « grands investigateurs » s’arrêtent là.

🔴 Dépôt de plainte contre RSF et Arnaud Froget

Suite à la parution dans l’espace public des diffamations profondément mensongères ci-dessus citées vis-à-vis de ma personne et dont je peux très aisément prouver, les preuves matérielles judiciairement recevables à l’appui, le caractère mensonger de chaque point diffamatoire de RSF, dont plusieurs ne peuvent être qualifiés autrement que flagrants et caractérisées, le 01.06.2025, une plainte judiciaire contre l’ONG RSF et son employé Arnaud Froget est déposée33 auprès du Procureur de la République du Tribunal Judiciaire de Paris.

🟤 Post scriptum

« Lui, c’est quelqu’un qui n’est pas journaliste… », dit Arnaud Froger chez RSF.

C’est tout à fait vrai – je ne suis pas un journaliste. Et, d’ailleurs, c’est une des rares choses que j’ai en commun avec ce personnage et avec l’organisation qui l’emploie.

L’ensemble des « grandes découvertes » résultant de semaines d’une grande investigation des « Reporters sans frontières » sur ma personne ne sont qu’élucubrations superficielles, des adaptations de la réalité à leurs souhaits et narratifs mensongers à propager – le modus operandi classique qu’on retrouve dans la majorité écrasante des publications de ce groupement agressif d’individus sous l’étiquette de « journalistes », très grassement payés (! près de 15 millions d’euros ne serait-ce que pour l’année 2024), principalement par des organismes étatiques américano-européistes (dont français) du financement de la propagande et de la lutte contre toute information alternative, afin que leurs masses électorales ne se révoltent pas non seulement contre les crimes commis par le camp atlantiste vis-à-vis du reste du monde, mais, avant tout, contre leurs propres sociétés.

En observant la « qualité » de ce grand travail réalisé par Arnaud Froger, le responsable du service des investigations de RSF – il vaut mieux éviter d’imaginer le niveau professionnel du reste de leur équipe…

Contrairement aux élucubrations de RSF, dont j’ai apporté sur ces pages les preuves concrètes de leur caractère profondément mensonger (juste le minimum nécessaire pour écraser leurs mensonges – je peux en rajouter bien davantage sur chaque point), une véritable analyse digne de ce nom sur cette organisation, dont je suis auteur, verra prochainement le jour.

Un grand nombre d’éléments concernant ses pseudo « défenseurs des droits des journalistes par le monde » sera mise à la lumière du jour, dont sur leur prétendu « Classement mondial de la liberté de la presse » qui n’est qu’une grossière falsification et machination, sur leur ignorance préméditée des meurtres de journalistes par le monde et sur leur ignorance de gravissime oppression de la presse et de la liberté de parole qui est la règle chez cette pseudo ONG dès qu’il s’agit des pays se situant sous le contrôle politico-financier des sponsors de RSF. La comptabilité fort intéressante et instructive des « reporters » en question ne sera pas oubliée non plus.   

Pour clore le chapitre, j’aimerais rappeler aux « reporters » sans frontière et sans honneur, les paroles de John Swinton, le rédacteur en chef du New York Times, qu’il a prononcé en 1880 dans les murs de l’American Press Association, au cours du banquet en son honneur, à la veille de son départ en retraite et à la suite de la proposition des collègues de lever les verres pour la presse indépendante. Des paroles qui ont traversé les générations et les frontières pour être rappelées à l’oreille des descendants ne vivant que sous perfusion de grasses subventions et essayant de se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas :  

« Quelle folie que de porter un toast à la presse indépendante ! […] La fonction d’un journaliste est de détruire la Vérité, de mentir radicalement, de pervertir, d’avilir, de ramper devant Mammon et de se vendre lui-même, de vendre son pays et les siens pour son pain quotidien ou, mais c’est la même chose, pour son salaire. Cela, vous le savez et moi aussi : quelle folie alors que de porter un toast à la presse indépendante ! Nous sommes les ustensiles et les valets d’hommes riches qui commandent derrière les coulisses. Nous sommes leurs marionnettes ; ils tirent les ficelles et nous dansons. Notre temps, nos talents, nos possibilités et nos vies sont la propriété de ces hommes. Nous sommes des prostituées intellectuelles ! ».

Oleg NESTERENKO

  1. https://c-cie.eu/
  2. https://c-cie.eu/diplome-esgci/
  3. https://c-cie.eu/louis-xi/
  4. https://c-cie.eu/i-r-a-extraits/
  5. https://c-cie.eu/presse-iira/
  6. https://c-cie.eu/doc-lviv/
  7. https://c-cie.eu/rsf-04-10-1997/
  8. https://c-cie.eu/publications/
  9. https://www.facebook.com/groups/informationsalternatives 
  10. https://c-cie.eu/article-accord-cerealier/
  11. https://c-cie.eu/article-la-france-en-marche-vers-la-recession/
  12. https://c-cie.eu/le-conflit-en-ukraine-genese/
  13. https://c-cie.eu/tribunal-pour-lukraine/
  14. https://c-cie.eu/rsf-exp-retours/
  15. https://contre-pouvoir.info/2022/10/russie-ukraine-une-guerre-fratricide-2-2/#:~:text=d%E2%80%99ailleurs%2C%20bien%20document%C3%A9s.-,Boutcha,donc%20tr%C3%A8s%20certainement%20fait%20beaucoup%20de%20victimes%20parmi%20la%20population%20civile.,-Les%20victimes%20et
  16. https://contre-pouvoir.info/2022/09/russie-ukraine-une-guerre-fratricide-1-2/
  17. https://www.youtube.com/shorts/Y5JO-5qgkfA
  18. https://www.youtube.com/shorts/85Km4os03jo
  19. https://www.youtube.com/watch?v=SiqtjuqUM1w
  20. https://c-cie.eu/depots-plaintes/
  21. https://c-cie.eu/donations/
  22. https://c-cie.eu/israel-childrens/
  23. https://c-cie.eu/donneur-moelle-osseuse/
  24. https://c-cie.eu/donneur-dorganes/
  25. https://c-cie.eu/avis/
  26. https://www.echosmedias.org/2025/02/25/rsf-relaxee-dune-plainte-en-diffamation-du-fils-de-lancien-president-du-mali/
  27. https://c-cie.eu/rsf-lesia-dubenko-%e2%9d%a4%ef%b8%8f/
  28. https://c-cie.eu/linkedin-inseec/
  29. https://c-cie.eu/eastern-mba/
  30. https://c-cie.eu/inseec-fiche-de-paie-04-2025/
  31. https://c-cie.eu/inseec-08-06-2022/
  32. https://c-cie.eu/inseec/
  33. https://c-cie.eu/cours-negociation-b-tob-avis-des-anciens-eleves/
  34. https://c-cie.eu/depot-de-plainte-contre-rsf-et-arnaud-froger-01-06-2025/

[…] En parlant d’ONG, nous avons en France cette officine de censure grassement financée par USAID, la Commission européenne et certains Etats : Reporters sans frontières (RSF).

Nous avons vu apparaître au nombre de nos abonnés gratuits le 2 avril 2025 un employé de RSF, Arnaud Froger. Autant vous dire que cela nous a fait dresser les oreilles, parce que nous connaissons de longue date les méthodes de cette ONG.

Ça n’a pas manqué. Le 19 mai 2025, une « enquête » a été publiée concernant Oleg Nesterenko, président du Centre du Commerce et de l’Industrie Européen, à qui nous avons plusieurs fois donné la parole dans notre rubrique « Réflexions libres » depuis le début du conflit en Ukraine. Nous jugeons important de comprendre le point de vue russe dans le conflit ukrainien, si l’on veut avoir une chance d’y trouver une issue.

RSF s’est donc fendu d’une « hit pièce », comme on dit en bon français, un article dénigrant, voire diffamatoire, visant à décrédibiliser les propos d’Oleg Nesterenko par le biais d’attaques personnelles. Lire ici la réponse de M. Nesterenko. […]












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